Prescribing Portraits to Optimize Prescribing of Proton Pump Inhibitors in Long-Term Care: PPI-T STOP Study

Background: Proton pump inhibitors (PPIs) are among the most commonly prescribed medications in Canada, particularly for older adults (at least 65 years of age). Overprescribing of long-term PPIs leads to health care system waste and is associated with adverse effects, including infections and fractures. The high prevalence of PPI prescribing in long-term care (LTC) facilities prompted an evaluation of systematic approaches to PPI deprescribing.

Objective: To assess the impact of individualized prescribing portraits, a type of audit-and-feedback quality improvement intervention, on PPI deprescribing in the LTC setting.

Methods: This prospective, nonblinded, uncontrolled, pre–post quality improvement study was conducted from December 2021 to April 2022 at a 126-bed LTC facility in Vancouver, British Columbia. A PPI prescribing portrait was developed for each prescriber (n = 5) at the LTC facility, containing the prescriber’s personal PPI prescribing metrics as compared with those of their peers across all LTC facilities within the same health authority; an evidence summary for PPI deprescribing; and a personalized list of the prescriber’s PPI-treated residents, along with their respective PPI indications and strategies for PPI deprescribing. Three months after the prescribers received their PPI prescribing portraits, the number and types of PPI deprescribing orders were recorded.

Results: The implementation of prescribing portraits resulted in 17 (61%) of 28 PPI-treated residents receiving a deprescribing order by the end of the study period. Of the 28 PPI-treated residents, 20 were determined to be eligible for PPI deprescribing according to the evidence summary presented in the prescribing portrait; of these 20 residents, 16 (80%) appropriately received PPI deprescribing.

Conclusions: Individualized prescribing portraits had the potential to increase evidence-based PPI deprescribing among LTC residents, beyond the extent of deprescribing previously achieved through standard of care.

Keywords: deprescribing, long-term care, proton pump inhibitors, quality improvement, prescribing portrait

RÉSUMÉ

Contexte : Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) comptent parmi les médicaments les plus couramment prescrits au Canada, particulièrement chez les personnes âgées (au moins 65 ans). La prescription excessive d’IPP à long terme entraîne un gaspillage pour le système de santé et est associée à des effets indésirables, notamment des infections et des fractures. La prévalence élevée de la prescription d’IPP dans les établissements de soins de longue durée (SLD) a entraîné une évaluation des approches systématiques de déprescription des IPP.

Objectif : Évaluer l’incidence des schémas de prescription individualisés, un type d’intervention d’amélioration de la qualité basée sur l’audit et la rétroaction, sur la déprescription des IPP dans les établissements de SLD.

Méthodes : Cette étude prospective, sans insu et non contrôlée sur l’amélioration de la qualité pré-post a été menée entre décembre 2021 et avril 2022 dans un établissement de SLD de 126 lits à Vancouver, en Colombie-Britannique. Un schéma de prescription d’IPP a été élaboré pour chaque prescripteur (n = 5) de l’établissement de SLD, contenant les paramètres personnels de prescription d’IPP du prescripteur par rapport à
ceux de ses pairs dans tous les établissements de SLD au sein de la même autorité sanitaire; un résumé des données probantes pour la déprescription des IPP; et une liste personnalisée des résidents du prescripteur traités par IPP, ainsi que, respectivement, leurs indications d’IPP pour la déprescription des IPP. Trois mois après la réception des schémas de prescription d’IPP des prescripteurs, le nombre et les types d’ordonnances de déprescription d’IPP ont été enregistrés.

Résultats : La mise en œuvre de schémas de prescription a permis à
17 (61 %) des 28 résidents traités par IPP de recevoir une ordonnance de déprescription pendant la période d’étude. Sur les 28 résidents traités par IPP, 20 ont été jugés admissibles à la déprescription des IPP sur la base du résumé des données probantes présentées dans le schéma de prescription; sur ces 20 résidents, 16 (80 %) ont reçu de manière appropriée une déprescription d’IPP.

Conclusions : Les schémas de prescription individualisés avaient le potentiel d’augmenter la déprescription d’IPP fondée sur des données probantes chez les résidents des établissements de SLD, au-delà de l’étendue de la déprescription précédemment atteinte grâce aux normes de soins.

Mots-clés : déprescription, soins de longue durée, inhibiteurs de la pompe à protons, amélioration de la qualité, schéma de prescription

留言 (0)

沒有登入
gif